En matière de pratiques de réseautage qui laissent leurs empreintes indélébiles sur le Net, on distingue celles des internautes soucieux du respect de leur vie privée, qui organisent le référencement de leurs contenus directement dans les moteurs de recherche par l'intermédiaire des solutions d'édition web qu'ils utilisent (telles que RapidWeaver et WordPress par exemple), de celles des socionautes, que l'on trouve dans ces mêmes moteurs par l'intermédiaire des pratiques commerciales imposées par les plateformes sociales auxquelles ils souscrivent.
Si, pour des raisons de transparence comme de visibilité, on est en droit d'attendre des premiers qu'ils privilégient une approche native du référencement, et des seconds, qu'ils adoptent une approche multi-systèmes de type "Extranet+", on constate dans les faits qu'il n'en est rien: un coup d'oeil sur les résultats de recherche pour n'importe quel type de requête suffit à se convaincre que c'est l'hybridation des systèmes qui fait dominer le défaut, au détriment de la clarté de l’ensemble.
Face à un tel appauvrissement des contenus par le clonage commercial des mauvaises pratiques, je ne peux m'empêcher de me projeter dans le saut de valeur qu'un retour vers le natif permettrait de réaliser en termes de complémentarité des résultats de recherche. Jugez plutôt:
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